Cher lecteurs en tout genres,
En cette dernière semaine d’écriture nous allons discuter ensemble d’un sujet assez commun que j’ai eu la chance de revisité avec un collègue. J’aimerais vous décrire le contexte car ceci a rapport avec notre sujet principal. Ce collègue est venu un soir chez moi, pour discuter. Nous avons ensemble réellement participer à une ouverture conversationnelle d’esprit à esprit. Nous avons travaillé avec notre tête. Je ne nous vante pas en explicitant ces propos, car ceci est une chose commune, bien évidemment. Ce que je veux vous dire par là c’est que nous avons senti un amas d’idées gardé au plus profond de nous s’en aller, être libéré, être explicité.
Comprenons nous bien et laissé moi vous conté notre sujet de ce présent article. Qu’est ce que le fait de parler ? Parlons nous réellement ? Qu’est ce que la parole explicite ?
Lors, donc de cette petite soirée, par de nombreux sujets abordés, nous avons (de mon point de vue) remis en questions les termes du langages, et donc de la parole. Parlez-vous réellement ? Cette question, pouvant vous paraitre anodine, à pris des proportions colossale car le langage en tant que t’elle est finalement bien plus complexe qu’il n’y parait. Nous avons tenté de l’explicité et ceci n’a pas été chose facile. Il se trouve en effet que le langage est tellement complet, tellement omniprésent, chez vous, chez moi, chez votre capacité de raisonnement explicite qu’il devient une définition incomplète car trop utilisé pour être explicité dans les moindres recoins. Je dirais même, pour revenir sur mes précédents dire que nous avons failli dans notre « tâche » car le langage, comme nous l’avons compris ce soir là, est innexplicite,nous avons donc essayé de le schématisé.
Nous avons émis notre propre définition du langage, que collègue à retranscris par un schéma. L’axe principal était que chaque esprit était pourvu de bibliothèques de mots et que pour émettre une idée, un commentaire, une pensée, il effectuais un chemin de bibliothèques à bibliothèques. Dans notre pensée, la mémoire serait en fait des « chemins » prédéfinis allant cherché la formulation de mots la plus adéquate à l’idée présentée. Ceci fonctionnerais ainsi pour toute formulation, expressions, réactions, etc… L’humour serait un premier chemin prédéfini partant tout d’abord sur une première formulation de mot, amenant à penser le publique à une idée particulière puis l’orateur changerait totalement de chemin créant ainsi le gag.
Cette définition, n’est pas le sujet principal de cette article. C’est une explication de la conclusion de nos propos. Nous avons définis un terme vague. Nous l’avons parlé. Ainsi s’il ont suit notre analyse, la réelle parole, formant discussions et débats. Nos esprits connectés ont effectués le chemin manant à chaque bibliothèques contenant la signification que nous voulons émettre. Mais cette formule que l’on pourrait presque comparé à un code précis est encore incomplète car, nous avons, à fin d’expliquer nos avis placer des mots, eux mêmes vagues car chaque mot est lui même flou car définissable par un autre mot .
Ces derniers termes symbolise ce que j’appelle la parole explicite que j’ai volontairement barré tout au long de cette article car le terme ici représente le calcule définissable linguistique que nous avons tenter de faire, mon collègue et moi, ce soir là.
Sur ce je vous tire mon chapeau et vous dit « Salut » !
Raoul Volfoni