La parole explicite

Cher lecteurs en tout genres,

En cette dernière semaine d’écriture nous allons discuter ensemble d’un sujet assez commun que j’ai eu la chance de revisité avec un collègue. J’aimerais vous décrire le contexte car ceci a rapport avec notre sujet principal. Ce collègue est venu un soir chez moi, pour discuter. Nous avons ensemble réellement participer à une ouverture conversationnelle d’esprit à esprit. Nous avons travaillé avec notre tête. Je ne nous vante pas en explicitant ces propos, car ceci est une chose commune, bien évidemment. Ce que je veux vous dire par là c’est que nous avons senti un amas d’idées gardé au plus profond de nous s’en aller, être libéré, être explicité.

Comprenons nous bien et laissé moi vous  conté notre sujet de ce présent article. Qu’est ce que le fait de parler ? Parlons nous réellement ? Qu’est ce que la parole explicite ?

Lors, donc de cette petite soirée, par de nombreux sujets abordés, nous avons  (de mon point de vue) remis en questions les termes du langages, et donc de la parole. Parlez-vous réellement ? Cette question, pouvant vous paraitre anodine, à pris des proportions colossale car le langage en tant que t’elle est finalement bien plus complexe qu’il n’y parait. Nous avons tenté de l’explicité et ceci n’a pas été chose facile. Il se trouve en effet que le langage est tellement complet, tellement omniprésent, chez vous, chez moi, chez votre capacité de raisonnement explicite qu’il devient une définition incomplète car trop utilisé pour être explicité dans les moindres recoins. Je dirais même, pour revenir sur mes précédents dire que nous avons failli dans notre « tâche » car le langage, comme nous l’avons compris ce soir là, est innexplicite,nous avons donc essayé de le schématisé.

Shéma langage

Nous avons émis notre propre définition du langage, que collègue  à retranscris par un schéma. L’axe principal était que chaque esprit était pourvu de bibliothèques de mots et que pour émettre une idée, un commentaire, une pensée, il effectuais un chemin de bibliothèques à bibliothèques. Dans notre pensée, la mémoire serait en fait des « chemins » prédéfinis allant cherché la formulation de mots la plus adéquate à l’idée présentée. Ceci fonctionnerais ainsi pour toute formulation, expressions, réactions, etc… L’humour serait un premier chemin prédéfini partant tout d’abord sur une première formulation de mot, amenant à penser le publique à une idée particulière puis l’orateur changerait totalement de chemin créant ainsi le gag.

Cette définition, n’est pas le sujet principal de cette article. C’est une explication de la conclusion de nos propos. Nous avons définis un terme vague. Nous l’avons parlé. Ainsi s’il ont suit notre analyse, la réelle parole, formant discussions et débats. Nos esprits connectés ont effectués le chemin manant à chaque bibliothèques contenant la signification que nous voulons émettre. Mais cette formule que l’on pourrait presque comparé à un code précis est encore incomplète car, nous avons, à fin d’expliquer nos avis placer des mots, eux mêmes vagues car chaque mot est lui même flou car définissable par un autre mot .

Ces derniers termes symbolise ce que j’appelle la parole explicite que j’ai volontairement barré tout au long de cette article car le terme ici représente le calcule définissable linguistique que nous avons tenter de faire, mon collègue et moi, ce soir là.

Sur ce je vous tire mon chapeau et vous dit « Salut » !

Raoul Volfoni

Réponse, point de vue et confrontation #2

Cher lecteurs en tout genres,

Tout d’abord j’aimerais vous présenter mes plus plates excuses suite au retard que j’ai effectué concernant cette article.

Cette semaine je ferais une argumentation sur un article de mes compatriotes: Itchy. J’exposerais les notions et analyses philosophiques de son sujet.

Suis-je le contenu des mots qui me définissent ?

Itchy dans cette article, nous parle avec éloquence de la notion de symbole, il l’explique, la questionne, y répond. Il émet la notion d’individu défini par le symbole ainsi que la puissance médiatique symbolique. Je suis amplement de son point de vue, en effet dans notre société actuelle, l’individu devient classifier sous une identité bien symbolique (Nom, Prénom, Statut sociale etc…). L’homme devient une référence parmi d’autres, il devient lui même une puissance médiatique.

Mais abordons notre sujet, ma réponse se trouve ici même, il s’agit du sens philosophique du terme. En effet une des questions magistrales se posant sur la liberté de l’homme, de son rapport consciencieux à l’animal. Expliquons ces notions ! La liberté de l’homme, s’étudie dans la philosophie, par Descartes comme exemple référence, qui proclame « Je pense donc je suis« . Tout ceci pour émettre l’idée de conscience humaine, c’est à dire la force de penser par soi-même, pour soi-même. Ainsi, toujours selon Descartes, toute individu pouvant penser (en terme grossier) qui possède ainsi une conscience de soi est libre car non déterminé par une force extérieur. J’en viens alors aux symboles, aux signes.

La notion philosophique et historique de signes a poser certaines questions sur la liberté de l’homme en particulier avec l’observation d’usage de signe chez les animaux. Ce fait a été étudié par le philosophe anglais Francis Bacon, père de l’empirisme. Son étude porte sur le fonctionnement des signes chez les abeilles. Il l’observa que le mouvement de cueillette était orchestré d’une manière bien précise, il proclame à ce sujets:

« Les empiriques, semblables aux fourmis, ne savent qu’amasser et user ; les rationalistes, semblables aux araignées, font des toiles qu’ils tirent d’eux-mêmes ; le procédé de l’abeille tient le milieu entre ces deux : elle recueille ses matériaux sur les fleurs des jardins et des champs ; mais elle les transforme et les distille par une vertu qui lui est propre : c’est l’image du véritable travail de la philosophie, qui ne se fie pas aux seules forces de l’esprit humain et n’y prend même pas son principal appui.  »

Résumons un peu cette pensée longue et complexe. La pleine idée de Bacon porte sur le signe entant que langage. Il se fit au fait qu’un individu pouvant « dialogué » aurait par cause à effet, en suivant toujours la pensée de Descartes, une conscience de soi. Bacon s’oppose alors à ce dernier. Ces dires ci-dessus évoque le langage comme une capacité, un principal appui  pour reprendre ces termes. En suivant ses opinions il discrédite le langage entant que chemin vers la conscience de soi, en le décrivant comme une caractéristique.

Francis Bacon répond ainsi à la question de mon cher confrère. Non, selon lui l’Homme n’est pas le contenu des mots qui le définissent. Le signe est un langage comme capacité, il sert présentement d’outil. C’est dorénavant un outil médiatique que l’on retrouve principalement dans le monde de la communication comme le soulignait Itchy.

Sur ce je vous tire mon chapeau et vous dit « Salut » !

Raoul Volfoni

Placement de produits

Amis du jour, Bonjour

Aujourd’hui sur les tontons blogueurs, un article répondant et s’appuyant sur le billet de blogue posté par mon collègue  http://etudetheoriesdelacommunicationdemasse.wordpress.com/

Nous allons parler de placement de produits que ce soit dans la vie de tous les jours, dans les jeux, les films, les bd…

Le placement de produits et une technique commerciale de plus en plus vue depuis de nombreuses années.

C’est une technique basique de marketing de masse.

Nous pouvons tout d’abord le remarquer dans les films, que ce soit des anciens films avec « le bon la brute et le truand » avec les revolvers, les colts… ou encore dans le film « maman j’ai raté l’avion ».

Dans le premier nous voyons clairement un placement de produit pour la marque Pepsi, alors que dans le deuxième pour coca-cola.

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Même dans les jeux vidéos il y a placement de produits.

Dans Mx Vs ATV nous retrouvons les marques de motos, les sponsors qui sont indispensables.

Depuis, de nombreux jeux instaurent un placement produit plus ou moins visible. Ce procédé reste le même que pour le cinéma. L’idée est donc de ne pas dénaturer l’univers, cela permettant même de le crédibiliser en le rendant plus réaliste.

Ainsi les jeux les plus touchés par l’in-game advertising restent les jeux se déroulant dans un univers se voulant réaliste (une ville ou une enceinte sportive par exemple). On peut donc voir un Pizza Hut dans Crazy Taxi, des publicités pour les équipementiers sportifs dans les séries PES et Fifa

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Pour conclure je pourrais dire que le placement de produits et une manière simple et rapide de se faire financer par des grosses compagnies tout en les aidants en montrant leurs marques.

 

Maître folace

Le lion ne s’associe pas avec le cafard!!

JEUX VIDEO, MEDIA PLUS VIOLENT QUE D’AUTRES ?

Ams du jour bonjour,

A travers cet article nous allons rebondir sur l’article de mon collègue Mr.Volfoni sur L’influence des jeux vidéo sur le comportement humain et surtout des jeunes.

Une question fait débat depuis plusieurs années. Est-ce que le fait d’être exposé, dans une perspective interactive, à une violence crue, réaliste et perçue comme un moyen efficace d’avancement, pourrait inciter un jeune à se montrer violent dans la vie réelle ?

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La violence des jeux vidéo tient beaucoup au fait que, avec l’avancement des technologies, ce mode de divertissement n’est plus réservé qu’aux jeunes. Les créateurs n’épargnent aucun détail aux joueurs; sang qui gicle, bruits d’os qui rompent et cris de souffrance atroces sont des exemples d’éléments qu’on retrouve dans bon nombre de jeux.

En ce qui concerne les effets psychologiques et comportementaux, les résultats des recherches montrent que la pratique de jeux vidéos violents favorise l’agressivité des pensées, des émotions et des comportements des joueurs, et ce, indépendamment de leur personnalité. En somme, jouer à des jeux vidéos violents rendrait moins sensible à la violence (qu’elle soit verbale ou physique) et désinhiberait les comportements agressifs.

 

Les jeux vidéos ne sont pas les seuls médias ou il y a de la violence. En effet, la violence se retrouve un peu partout à travers certains films, certains livres, certaines vidéos ou propos tenus sur internet et même dans le journal télévisé.
Pourtant, il y a une différence notable entre ces divers supports médiatiques et les jeux vidéos: dans un jeu vidéo, l’individu s’implique davantage et même si l’environnement violent demeure virtuel, le joueur n’est plus spectateur, il devient acteur. De fait, ce passage de la posture passive à la posture active fait toute la différence.

 

Maitre Folace

Dune (1975)

Cher lecteurs en tout genres,

Je vous parlerais cette semaine d’un sujet qui m’a toujours offensé par sa violence et ses conséquences. J’ai appris ce matin la sortie d’un documentaire sur le projet cinématographique « Dune »  par le réalisateur franco-chilien Alejandro Jodorowsky. « Dune » est à la base un roman de science-fiction publié en 1965 par Frank Hebert. Ce roman est l’un des icônes de la S-F par son univers, sa puissance et son originalité, à l’époque. Le projet se voyait colossal, le réalisateur avait en tête de nombreuses idées afin de rendre le film inoubliable. Les Pink Floyd devaient faire la bande-son intégrale du film, le casting était formé d’Orson Welles, Mick Jagger, David Carradine ou encore Salvador Dali qui en plus de faire certains visuels du film avait bien accepté d’interpréter l’empereur Shaddam IV (autrement dit le mal de l’histoire). Les storyboards et dessins devaient être réalisé par les dessinateurs Moebius, Chris Foss H.R. (dessinateur de  l »Alien » de Ridley Scott).

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Ce projet ambitieux n’a malheureusement pas été mené jusqu’à sa fin car les producteurs du film ne l’ont pas suivi jusqu’au bout empêchant ainsi toutes réalisations. Voila mon point, cette création se retrouve anéantie par des hommes formés par le capital, pensant capital et jugeant en fonction de ce dernier. Mon jugement se porte donc sur les producteurs qui ont empêchés ce film ambitieux de voir le jour. Soyons clair, bien évidemment il y a un contexte, il y a un pourquoi, un comment. Je ne peux me proclamer objectif car il est bien vrai que ce projet réunissait nombres de mes centres d’intérêts mais tout ceci est un exemple.

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Cette article n’est en effet là que pour critiquer le fait qu’aujourd’hui, presque, toute forme de création est contrôlé par le capital, certes le film aurait peut être été mauvais, certes tout ceci coute de l’argent nécessaire à payer chaque employer participant mais quel dommage qu’une création soit brisé, anéantie, réduit au néant, au silence par le simple pouvoir de l’argent. Ce pouvoir présent partout, présent chez moi, chez vous. Ne vous est il jamais arrivé d’imaginer notre monde d’aujourd’hui sans ce fléau ?

Sur ces derniers mots aussi poussés que critiquable  je vous invites à regarder la bande-annonce du documentaire qui semble présenter une histoire de conception créative agréable :

Dune (1975)

Sur ce je vous tire mon chapeau et vous dit « Salut » !

Raoul Volfoni

« Si l’argent, comme dit Augier, « vient au monde avec des taches de sang naturelles sur une joue », le capital quant à lui vient au monde dégoulinant de sang et de saleté par tous ses pores, de la tête aux pieds. »

Karl Marx « Le Capital »

Réponse, point de vue et confrontation

Cher lecteurs en tout genres,

Je vous invite cette semaine à répondre, du moins tenter de répondre, à un certain Mac Norris de son prénom. Ce petit dernier m’a fait découvrir il y a quelques semaines un film/documentaire sorti en 2013 nommé « The Act of Killing« . Voici l’article en question:

The Art of Killing

Il faut bien évidemment noter que ce film est en effet plus que particulier, les actes relatés ainsi que ceux filmé à l’écran exposent une violence, qui comme la déclaré Mac Norris, dépassent la fiction. C’est donc une violence réelle, une violence faite par un homme créant cette violence, la violence est pure, elle est voulue. Ainsi présenté ceci à l’écran soulève bien des polémiques, la fiction choque pour choquer, elle se veut coller au réel tout en étant irréelle. Nous pouvons y voir alors peut être une nouvelle forme de cinéma, un nouveau genre. J’entend par « nouveau », un genre, à développé encore et encore car ce film n’en est pas le créateur selon moi, bien que le degrés de « fiction réaliste » (appelons le de la sorte) sois certes très élevé. Il existe, en effet, d’autres films explorant ce « style », par exemple La Chute (titre original : « Der Untergang ») avec Bruno Ganz qui relate des derniers jours du troisième Reich, dans le blockhaus d’Adolf Hitler. Ce film présente plus qu’une observation de faits historiques, il donne son avis, son point de vue, c’est donc également une fiction réaliste.

Ce genre présente des caractéristiques assez spécifiques dignes d’intérêts selon moi car nous sortons du cinéma dans sa figure classique, tout en restant dans une structure cinématographique. C’est un genre compliqué mais ayant un effet bien réelle sur le spectateur, il observe tout en prenant parti (tout dépendant de son appréciation du film). Pour revenir sur The Act of Killing, je pense le film intelligent par sa force des images. Le média devient choque sans mensonge, nous ne pouvons qu’observer et penser, l’opinion est déjà relaté, nous devenons en quelques sortes impuissants devant l’image réelle.

Pour conclure et répondre à une dernière question de notre ami commun :

« Pourquoi des personnes voudraient recréer leurs crimes de guerre devant des caméras ?« 

Je dirais que ces protagonistes dans le film, c’est à dire Anwar Congo et Adi Zulkadrysortent du réel, se cachant derrière la fiction, ils nous narguent, nous entant que spectateur, ils dépassent les conventions du documentaire historique qui nous montrent généralement des faits passés, en les recréant sous nos yeux. Cela rend le film « puissant » car même nargué, le spectateur peut ainsi avoir une véritable réflexion sur un média réel, ce qui me permet de dire que ces actes montrés à l’écran, même dans la violence pure, ne peut que nous faire avancer, faire avancer le cinéma et ainsi montrer du doigt le réel terme de violence.

Sur ce je vous tire mon chapeau et vous dit « Salut » !

Raoul Volfoni

« Les conneries c’est comme les impôts, on finit toujours par les payer. »

                                            Michel Audiard

TELEVISION OBSOLETE

Amis du jour bonjour,

 

Aujourd’hui nous allons brièvement voir l’évolution de la télévision sur la génération y depuis quelques années.

Pour tous les jeunes adultes et tous les adolescents, de notre époque, je pense que l’utilisation de la télévision et surtout le message qu’elle véhicule a grandement évoluée.

 Lors de l’arrivée de la télévision dans les foyers, la masse était vraiment enthousiaste d’en posséder une et les adolescents étaient impatients d’arriver le soir et pouvoir se retrouver entouré de sa famille devant le fameux poste de TV.

 Cela a bien changé, pour moi personnellement, la télévision est devenue depuis maintenant 2-3 ans un objet complètement obsolète.

Comme dans l’article des médianipulateurs,

 http://medianipulateurs.wordpress.com/

 

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Je peux constater que nous nous plions plus aux programmes télévisés, mais c’est les programmes et les différents choix qui s’adapte à nous.

 Avoir la possibilité de faire pause sur un match de football, regarder des films et séries en VOD, en streaming est devenu un grade révolution.

Des entreprises comme Netflix ont très bien compris ce système est proposé pour un abonnement mensuel une liste de films, séries, documentaire en streaming.

Cette révolution pousse selon moi aux chaines télévises de se spécialiser et proposer de noueux services.

 

Si on bricolait plus souvent, on aurait moins la tête aux bêtises.

MAîTRE FOLACE

#G(rande)T(orture) A V(oir)

Cher lecteurs en tout genres,

Cette semaine, je vous parlais brièvement d’un jeu vidéo très connu: j’ai nommé GTA V. Je ne pense pas devoir faire un rappel du concept de cette lignée de jeu allant du tout premier GTA, de « San Andreas » ou encore « Read Dead Redemption ». J’aimerais donc, vous parlé cette semaine d’une observation à propos de ce tout dernier. J’ai assisté en tant que spectateur à une des missions. Je parle d’une mission où Trevor un des trois personnages du jeu, doit torturer quelqu’un.

Voici la mission, afin que nous soyons sur les mêmes bases:

Donc, comme vous avez pu le voir dans la vidéo, Trevor torture sa victime avec passion en utilisant plusieurs méthodes comme la sorte de « noyade », le choc électrique faisant presque fondre les tétons de ce pauvre homme, il lui arrache une dent avec une tenaille, lui fracasse un genou, le frappe, le plante avec une seringue, enfin bref, je m’arrêterais là dans cette longue énumération, ceci, bien que ce soit GTA, m’a montré une nouvelle facette de violence.

Je dis nouvelle, car nous avions l’habitude de la grande violence de GTA, moi même y ayant beaucoup joué. Le jeu est d’ailleurs déconseillé aux moins de 18ans ce que je ne lui reproche pas. Mais cette violence m’a paru nouvelle, j’ai eu sur le moment, l’impression qu’il était allé trop loin. Je voyais le joueur déferlé toutes la violence qu’il avait en lui. Les thermes sont certes gros m’est tel mon observation, cette mission permet d’aller encore plus loin dans la violence très connu de GTA. La scène par ces belles images donne un réalisme impressionnant mettant ainsi le gamer au coeur de l’action la plus complète.

Je me suis alors demandé, une question plus globale et commune, si cette « haine » (le terme est un peu fort) était contenu dans la réalité, l’espèce humaine, afin de généraliser la question, aurait alors besoin d’une autre réalité pour la déverser. Ainsi cette autre réalité servirait de receveur pour des émotions contenues.

Entre excitation et violence, la relation est changé. Ceci devient alors un besoin, voir même peut être une nécessité.

Mais ce « débat » est compliqué, ambigu et c’est pour cela que je vous invite à poser des questions ainsi que des réponses.

Sur ce je vous tire mon chapeau et vous dit « Salut » !

Raoul Volfoni

 

Réseaux sociaux, sources de conflits ou non ?

Amis du soir  bonsoir,

Aujourd’hui court article sur la relation des medias de masse chez les jeunes et particulierement des réseaux sociaux, les points positifs et negatifs  tout en étant objectif.

Utiliser les médias sociaux représente une activitée courante chez les jeunes d’aujourd’hui. Un récent sondage mené aux États-Unis démontre que 51 % des adolescents se connectent à leur réseau social favori au moins une fois par jour et que 22 % des jeunes le font plus de 10 fois quotidiennement . Il demeure cependant essentiel que les jeunes sachent en faire une utilisation saine et appropriée, sans quoi, certains problèmes pourraient survenir.

Bon cotés:

il semble que l’utilisation des médias sociaux aurait un effet bénéfique sur les enfants et les adolescents en améliorant la communication, les liens sociaux, de même que les compétences techniques.  Aussi, ils offrent aux jeunes la possibilité de s’ouvrir davantage sur le monde et de rencontrer une multitude de points de vue, notamment par le biais de blogues, de vidéos, de podcasts, de sites Internet…

Mauvais cotés:

L’utilisation des médias sociaux peut toutefois comporter certains risques, compte tenu de la capacité plus limitée de certains jeunes à s’auto-réguler  et de leur tendance à être influencés par les pairs.

En effet, certains adolescents manquent parfois de vigilance et ne se questionnent pas nécessairement sur le type de messages, de photos ou de vidéos qu’ils mettent en ligne. Or, ces jeunes utilisateurs sont parfois loin de réaliser l’ampleur de leurs gestes et les répercussions possibles à plus ou moins long terme

Un autre risque que courent les jeunes utilisateurs de médias sociaux serait la cyberintimidation, phénomène qui consiste à utiliser les médias numériques afin de diffuser des informations fausses, embarrassantes ou bien hostiles sur autrui Ici, les auteurs du rapport font remarquer qu’une distinction doit être faite entre la cyberintimidation et le harcèlement en ligne. En somme, le harcèlement en ligne n’est pas aussi commun que le harcèlement hors ligne (Lenhart, 2007, cité dans O’Keeffe et Clarke-Pearson, 2011), alors que la cyberintimidation est très commune et peut arriver à tous les jeunes qui utilisent Internet.

Mes chers amours, je vous invites a réduires vos publications sur Facebook

PEACE

Happiness is Homemade

Maitre folace

Le nécessaire critiqué ou le superflu manquant.

Cher lecteurs en tout genres,

lors de mon dernier article, nous nous étions arrêté sur la problématique suivante :

Ce média, tant critiqué car tant critiquable, n’est il pas que négatif pour nous ? ou encore ne nous est il pas nécessaire par ses quelques aspects bénéfiques ? 

Ces deux hypothèses/problématiques sont pour moi le fruit de tous les jours, car ces simples questions suivent le média de masse qui lui nous suit partout. Mais est-ce le média de masse qui est le suiveur ou ces consommateurs ? Selon moi la réponse est toute faite, nous le suivons, pas à pas, dans les rues, dans les transport en commun, chez nous par le web, la télé, dans le film, le livre, bref nous l’hébergeons afin de tirer un profit de lui constant et nécessaire.

En effet comment est il possible qu’une chose comme le média puisse être critiqué autant mais pourtant si important dans nos vies, dans notre manière de fonctionner. Nous fonctionnons par le média, nous réfléchissons par lui. Sa critique à déjà été faite par nous autres, je l’a trouve compréhensible, correct et suis d’accord avec cette critique, mais cela ne résout pas notre problème, le média est présent et semble nécessaire par l’information qu’il nous enseigne.

Cette information constante, que je nommerais le superflu manquant nous aide maintenant pour tout, dans tout les domaines, nous l’avons créer et il semble maintenant marcher seul. De nouveautés en nouveautés la simple notion de média devient de plus en plus commune, elle est encrée dans la société, nous créons et recréons le média chaque jours, l’information est constante et concerne tous les sujets.

Pourtant, selon moi cette information est mal utilisé, c’est  le superflu manquant nous en avons trop pour en voir l’étendu et nous nous faisons « absorbé » par le média. L’idée de contrôle par le média vient, selon moi dans ce contexte ci, nous le faisons vivre mais il nous dépasse, nous cherchons sans trouver, l’information nous submerge par sa taille et son importance, le nécessaire devient trop grand, tout devient nécessaire tout en étant inutilisé. Cette facilité d’information nous dépasse par sa taille.

Je parle ici de « facilitée » car le média nous offre de grandes possibilité nous facilitant le quotidien en particulier avec la recherche, nous sommes aidés par cette masse d’information et de communication, elle aide notre esprit et notre pensée dans une direction que le média lui-même a formé, nous sommes les receveurs de cette informations nécessaire qui se transforme en superflu à nos yeux car encore non découverte sur tout les plans.

Pour conclure je dirais que le média nous transforme en receveur d’information, nous en avons besoin, nous nous formons notre manière de pensée par elle, autrement dit par le média. Il y a donc une sorte de « contrôle voulu » car cette information c’est nous même qui l’a créons. Nous formons le médias qui nous forme, il devient, à nos yeux le superflu manquant car nous avons tendance à ne pas en voir assez, ne pas en voir toutes les facettes, nous devenons les détendeurs de notre propre aliénation ce qui l’a rend très peu critiquable.

Si nous critiquons le médias, il faut tout d’abord nous critiquer nous, nous les formateurs de notre propre addiction qu’est le média de masse.

Sur ce je vous tire mon chapeau et vous dit « Salut » !

Raoul Volfoni

 

« Quand on parle pognon, à partir d’un certain chiffre, tout le monde écoute. »

Jean Gabin                                               « Le Pacha »